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Cela va vite, tres vite… D’après une récente étude américaine, les utilisateurs d’Internet seront bientôt plus nombreux à se connecter depuis leur mobile, que depuis leur ligne fixe. Le taux de pénétration du mobile et plus particulièrement des smartphones y est pour quelques choses Selon cette étude, l’explosion des ventes de mobiles devrait permettre au réseau mobile de supplanter le réseau fixe d’ici cinq ans.

Question chiffres, on dénombre un peu plus de 4 milliards d’utilisateurs de téléphones mobiles, contre seulement 1,6 milliards d’internautes connectés depuis un poste fixe. S’il est évident que tous les possesseurs de mobiles ne se connectent pas au net, des modèles tels que l’iPhone, et les autres smartphones ont été concu pour uniquement cela. De plus, les opérateurs mobiles migrent vers la 3G et donc une meilleure bande passante. C’est le cercle virtueux.

D’ailleurs dans ce contexte, une autre étude américaine prévoit que dans moins de trois ans, le marché des smartphones,qui proposent de très nombreuses fonctionnalités en ligne, devrait dépasser celui des PC portables. SAD

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L ’incubateur de Sidi abdellah, a ouvert ses portes avant hier, une semaine après sa réception le 26 Décembre 2009. C’est un grand jour à marquer d’une pierre blanche dans le domaine des TIC en Algérie. La cérémonie d’ouverture à été faite par M Hamid Bessalah Ministre de la Poste et des Technologies...

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ALGER - Le prix de l'ADSL ou l'internet haut débit est réduit à partir de dimanche de 50%, a annoncé dimanche à Alger le ministre algérien de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication (TIC), Boudjemaa Haichour, à l'occasion de la célébration de la Journée nationale de l'internet.

Avec cette réduction, l'Algérie pratique les tarifs les plus bas au Maghreb, a-t-il précisé.

Selon l'opérateur public de téléommunications, le groupe Algérie Télécom, les prix proposés pour le service ADSL passent pour les 128 kb 60h/mois de 800 dinars à 400 dinars.

Cette réduction a aussi pour but de satisfaire la demande, de plus en plus importante, en matière d'ADSL, en raison des besoins croissants des institutions publiques pour l'instauration de la gouvernance électronique, et ceux des citoyens et des opérateurs économiques.

Cette mesure s'ajoute aux nombreux efforts consentis dans le secteur des TIC en Algérie à la faveur des réformes engagées, depuis l'an 2000, dans le cadre du programme de soutien à la croissance.

L'opération Ousratic (un micro-ordinateur pour chaque foyer à l'horizon 2010) contribue dans la vulgarisation de l'internet et des TIC dans la société algérienne. Algérie Télécom projette de faire le montage de "lap-top" (micro-ordinateurs portables) doté de logiciels Open Source (OS) qui seront d'environ 10.000 dinars par unité.

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L’incubateur «technobridge» du cyberparc de Sidi Abdallah a été inauguré officiellement, mercredi à Alger, par le ministre de la Poste et des Technologie de l’information et de la communication, M. Hamid Bessallah, à l’occasion d’une journée portes ouvertes sur cette infrastructure des TIC. L’incubateur «technobridge» hébergera et accompagnera les jeunes chercheurs, doctorants, fonctionnaires ou entrepreneurs individuels dans la création de leurs entreprises innovantes, dont l’activité est basée sur les nouvelles technologies de l’information et de la communication.

Dans son allocution d’ouverture, M. Bessalah a relevé l’importance de cette infrastructure quant à l’encouragement de la science et de la société de l’information, se félicitant aussi que cet incubateur puisse accueillir les porteurs de projets à même de booster l’économie numérique.

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Des négociations sont en cours avec les responsables  d’Algérie Télécom en vue de pourvoir le secteur de l’éducation d’un provider qui lui sera propre, a affirmé le ministre de l’Education nationale, M. Boubekeur Benbouzid, hier, à Constantine.         
Au cours d'un point de presse improvisé au lycée "Hihi El Mekki" de  Constantine, le ministre a indiqué qu’un montant de 800 millions de dinars  a été dégagé pour cette opération qui permettra "l’interconnexion de tous  les établissements et institutions de l’éducation du pays à l’Intranet et à  l’Internet". Un objectif, selon lui, "réalisable dans un délai variant entre  12 et 18 mois au plus".         
M. Benbouzid a également fait part de la reprise prochaine de l’expérience  des lycées d’excellence dont la gestion sera désormais assurée par l’Office  national des examens et concours (ONEC). Il a annoncé, à ce propos, l’ouverture,  à compter de la prochaine année scolaire, de quatre lycées d’excellence représentant  les principales régions du pays.        
"Ces structures regrouperont tous les élèves sans distinction de sexe  ou de rang social, qui obtiendront les meilleurs résultats au BEM et réussiront  au concours prévu à cette fin", a souligné M. Benbouzid.         
L'expérience, a-t-il dit, sera progressivement étendue à d’autres lycées  pour toucher, à terme, les CEM, ce qui constitue "suite logique" à cette opération  qui tend, de prime abord, à améliorer la qualité de l’enseignement et à favoriser les conditions adéquates de l’évolution des élèves ayant des aptitudes particulières et leur assurer un encadrement adéquat, à même de stimuler davantage leurs capacités  intellectuelles.         
Par ailleurs, la date du baccalauréat sera "avancée ou décalée" en raison  de la participation de l’Algérie à la coupe du monde de football prévue en juin  prochain en Afrique du Sud, a confirmé le ministre de l’Education nationale,  notant que des contacts avec les différents partenaires concernés sont "en cours  pour fixer la nouvelle date de cet examen et la communiquer aux candidats  en temps opportun".         
"Les candidats devant passer leur examen loin de tout facteur pouvant  les déconcentrer ne seront pas, ainsi, perturbés par le déroulement des rencontres  de l’équipe nationale qu’ils pourront suivre en toute quiétude", a souligné  le ministre.         
Au cours de sa visite d’inspection, M. Benbouzid a également inspecté  les travaux de réhabilitation des lycées "Khaznadar" et "Hihi El Mekki", des  établissements construits dans les années 40.          
Le ministre a mis à profit sa rencontre avec la presse pour souligner,  dans ce contexte, "l’importance accordée par le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, au secteur de l’éducation nationale", rappelant la  décision du chef de l’Etat d’accorder une enveloppe de plus de 4,5 milliards  de dinars "uniquement pour la réhabilitation et la remise en état de tous les  lycées du pays qui se trouvent dans un état de dégradation et qui peuvent menacer  la sécurité et les bonnes conditions de travail des élèves et des professeurs".         
En réponse à une question relative à la situation de la pandémie A/H1N1  en milieu scolaire, le ministre a tenu à rassurer tous les parents d’élèves  en indiquant que tous les élèves touchés par cette maladie sont totalement guéris  et suivent normalement leurs cours.         
Bien que le vaccin des élèves contre la grippe porcine ne soit pas obligatoire,  les parents d’élèves "doivent assumer totalement leur responsabilité quant  à la santé de leurs enfants en les faisant vacciner lors de la campagne qui  sera lancée prochainement au niveau des différentes infrastructures scolaires  du pays".

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Société de l’information et E-Algérie 2013 : 3 questions à M. Hamid Bessalah

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Une des premières actions concrètes dans le cadre du lancement du programme national e-Algérie 2013, la mise en place, dans le cadre de la e-administration, une des priorités de l’année 2010, et dans une logique intersectorielle d’un système d’information du secteur de la formation et de l’enseignement professionnels, présenté en présence du  ministre M. El Hadi  Khaldi et de M. Hamid Bessalah, ministre de la Poste et des Technologies de l’Information et de la communication, lequel a bien voulu, à cette occasion, accorder à El Moudjahid cet entretien.

El Moudjahid : M. le ministre, quelle évaluation faites-vous de cette action que le ministère de la Formation et de l’Enseignement professionnels vient d’engager dans le cadre du programme e-Algérie 2013 conçu et mis en place par votre  ministère ?

M. Hamid Bessalah : Les actions qui ont été présentées, aujourd’hui, sont inscrites dans le cadre de  la formation et l’enseignement professionnels ont trait, d’abord, à la mise en place d’une infrastructure de télécommunication avec des références internes de sécurité nécessaires, d’une part, et la promotion  de la société de l’information, d’autre part. Et comme vous le savez, ce sont-là des actions prévues dans le programme de  e-Algérie 2013 à travers un de ses axes majeurs, à savoir l’accélération de l’usage des TIC par l’administration. Cette accélération passe, en effet, par la réalisation des infrastructures des télécom, la mise en place du système de l’information et le développement de plateformes de rapprochement du citoyen de l’administration. C’est ce que l’on peut appeler «  le service en ligne ». Je crois que l’action qui a été présentée, aujourd’hui, par le ministère de la Formation et l’Enseignement professionnels, va dans le sens du développement de son administration électronique sectorielle. Il y a lieu de signaler qu’à cet effet,  en termes de logique intersectorielle, et pour aller vers une administration électronique nationale ou ce que l’on appelle guichet unique, il y a les volets d’interopérabilité avec les autres administrations qui seront pris en charge dans le cadre du schéma directeur stratégique qui est en cours d’élaboration au niveau du ministère de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication.

Par rapport à quoi vous avez accordé des priorités pour certaines actions, notamment celle qui a trait à la e-administration ?

l Dans ce programme national de la e-Algérie 2013, nous avons, effectivement, agi, d’abord, par ordre de priorités. Et dès lors qu’elle constitue un des moyens d’amélioration de la qualité de la vie du citoyen, une des priorités qui sont, d’ailleurs, définies par le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, ainsi que celle de la bonne gouvernance administrative, la e-administration est une priorité. Et bien sur, pour avoir une bonne e-administration, il y a lieu d’avoir une infrastructure des télécoms de  haut débit, de la ressource humaine et une organisation. Et la e-administration que l’on peut appeler également la e-gouvernement constitue une priorité, en ce sens qu’elle a un impact direct sur l’amélioration de la vie du citoyen. Et ce qui a été fait,  aujourd’hui, c’est, non seulement, la base du réseau  intranet qui a été mis en place, mais aussi le service en ligne et surtout DZ.

Peut-on connaître quelques contours du programme de l’année 2010 ?

l En cette année 2010 nous pensons, d’abord, soutenir toutes les administration à développer leurs  plateformes de service en ligne  en direction du citoyen, notamment le service en ligne informationnel et de façon à ce que chaque ministère  ait son portail avec tous les services dont est concerné le citoyen. Celà étant donc une priorité, nous avons élaboré un cahier des charges en ce sens là, tout comme nous avons soumis aux différents ministères à ce que l’on aille vers un appel d’offres qui sera réalisé par  des opérateurs économiques locaux. En effet, nous avons des sociétés d’informatique capables de développer des portails avec des plateformes de service communs. Deuxième priorité au titre de cette nouvelle année, le développement du programme intégré du e-éducation où nous commençons par l’octroi à chaque enseignant du micro-ordinateur, de la ligne ADSL et du contenu, que ce soit des enseignants de l’éducation, la formation professionnelle ou l’enseignement supérieur. Aussi, Ousratic 2 relève de nos priorités en ce sens qu’il est indispensable que cette catégorie de citoyens puisse maîtriser les outils dont il s’agit. Autre priorité, la e-santé où il est impératif que la télémédecine devienne une réalité en Algérie. A cet effet, nous avons un grand pays, des spécialistes formés d’une manière hétérogène à travers tout le territoire national, lesquels, fait remarquable, sont concentrés, en majorité, au nord, et, en plus, pas dans tous les hôpitaux. Et là, il faudrait que tous les citoyens bénéficient des capacités et des compétences du pays en la matière par l’accès distant  au diagnostic et à la télémédecine. Il y a, enfin, une autre priorité qui a trait à un projet intégré que l’on espère réaliser et qui concerne la e-commune. Celà se comprend et dans le sens de l’évolution de la e-administration, il est indispensable de faire de la e-commune la base, en ce sens que chaque commune doit avoir son portail d’information afin que chaque citoyen participe à la vie de sa commune.
L’on n’est citoyen que lorsqu’on participe à la vie de la cité. Aussi, il faudrait que chaque commune ait son système de gestion intégrée, informatisée, et, qui puisse prendre en charge tous les aspects de la vie de la commune, notamment les ressources humaines, le cadastre  et autres. Il faudrait qu’à cet effet, un certain nombre de formulaires soit téléchargé d’ici la fin de l’année. Pour cette année, nous espérons, également, faire aboutir le processus de la monétique, de telle sorte que nous arrivons à déployer les terminaux, notamment pour les cartes d’achat, en coordination avec Algérie Poste, en espérant que les banques s’inscriront  dans cette démarche. En effet, comme nous le savons, la bonne gouvernance d’une économie passe par la tracabilité économique. En somme, la mise en place d’une infrastructure du haut débit, étant un impératif, elle constitue pour nous la priorité des priorités. Ainsi, nous avons arrêté des cahiers de charges avec Algérie Télécom à travers 15 projets pour que l’on aille vers le haut débit. Et, là, on vient de terminer l’année 2009 avec 1 million d’accès, nous évoluerons vers 2 millions d’accès en fin 2010. Bien évidemment, il n’y a pas que les accès, puisqu’il faudrait, également, mettre à niveau tous  les segments de l’infrastructure. Je voudrais, également, signaler l’intérêt que nous accordons à notre action à la promotion de l’économie numérique à travers des mesures incitatives pour encourager les développeurs de logiciels et de contenu. Une de ces mesures a été la construction du premier incubateur au Cyber Parc de Sidi Abdallah qui vient d’être inauguré il y a quelques jours au grand bonheur des talents et des chercheurs algériens en matière de TIC.
Entretien réalisé par
Zoheir Meziane

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Publié le : dimanche 10 janvier 2010 | A Nedjar. Sétif info


e-Algérie 2013 sonne à nos portes comme une donnée incontournable pour le futur et l’avenir de l’ensemble de nos échanges, de nos communications comme pour de l’ensemble de nos transactions de toutes natures. Mais tout d’abord faisons une brève connaissance avec ce méga projet qui se dessinera à l’horizon 2013. C’est le programme stratégique du gouvernement dit : e-Algérie 2013 qui a pour objet d’arrimer notre pays à la société de l’information à l’horizon 2013. En gros ce plan du MPTIC s’attache à développer à cette échéance :

L’accélération de la couverture en accès à haut débit et très haut débit à l’ADSL. La sécurisation pour « mieux répondre aux différents services développés » (c’est une première) L’accélération de l’usage des technologies de l’information et de la communication (TIC) par l’administration. L’intégration des TIC dans l’activité économique comme e-Éducation, e-Banking, e-Commerce … Développer les mécanismes et mesures « incitatives » à même d’accroître l’accès des ménages et des petites entreprises aux équipements et réseaux à haut débit.

L’élaboration d’un statut particulier pour les ingénieurs en TIC. Coopération stratégique avec certains pays dans le cadre du transfert de la technologie et du savoir-faire. La mise à niveau du cadre juridique national et la mise en place d’un Observatoire national des TIC. Pour l’instant nous nous bornerons au cadre juridique et institutionnel et aux rapports techniques de ce l’on peut appeler la signature électronique ou numérique. C’est l’un des aspects fort embarrassant dans la mesure ou, n’ayant pas encore accédé à la pratique et à l’usage de la monétique, ce sursaut ou ce transfert constituerait pour beaucoup non seulement un handicap aux usages numériques mais des raisons supplémentaires aussi de se fier d’avantage de ce concept fort méconnu par la majorité de la population et de la société. Pour les promoteurs du plan , il d’une urgence absolue de développer d’abord une action pédagogique dite de « sécurisation » des esprits avant d’aborder n’importe quel autre chapitre ou autres aspects technico-juridiques où on risquerait une fois encore de ne crier fort et seul dans le désert .

Males préparées, les opérations de mises en place des cartes de retraits bancaires semblent n’avoir réglé pour l’instant que les problèmes des établissements financiers qui livrent ainsi leurs usagers à ces machines bêtes et méchantes ,vides et silencieuses pour la plus part du temps et qui augmentent le désarroi et le courroux de nombreux autres usagers . Ces redoutables machines impersonnelles qu’on appelle CAB, DAB etc. n’ont pas exercé pour l’instant les rôles qui leurs étaient dévolus plus que de livrer ces usagers dans « la rue », la où ils se situent pour la plus part. Au vu de cette expérience non concluante, la question serait de savoir par quel miracle s’exercerait ce transfert ou cette mutation à l’horizon 2013 dans une économie ou l’informel est la caractéristique fondamentale où les modes opératoires de paiements se matérialisent toujours par ces énormes liasses de monnaies bouseuses, cachées dans des grands sacs en plastics noirs. ​Pour rester dans la définition de la signature numérique, disons que cette dernière est un mécanisme permettant d’identifier et d’authentifier le générateur d’un document électronique quelconque pour garantir sa véracité par substitution à la signature manuscrite d’un document en papier.  Cette marque doit permettre d’identifier la personne ou l’institution qui l’a validée et que le document n’a pas été altéré entre les deux opérations de signature et de consultation.

Pour donner force probante, ce document électronique doit être authentique ; infalsifiable, non réutilisable, inaltérable et surtout irrévocable. Cette signature devient possible par sa transformation en un aspect cryptographique (chiffrement) qui se différencie de la signature manuscrite par le fait qu’elle est n’est pas visible mais correspond à une suite analogique de nombres.

Allez raconter cette histoire au fellah du coin ou à ce travailleur manuel .Même l’université n’a pas intégré encore ces éléments dans ses programmes.2013, c’est demain .Que deviendrons nous autour de ces machines avec lesquelles nous ne savons pas encore communiquer ! Nous ne voudrions pas que le résultat de la société de l’information soit le résultat de la société de désintégration.

A Cette date, e-Algérie 2013 pourrait être un rêve ou un cauchemar .Rêvons mais rêvons éveillés car les termes sont si proches ! Lien e-Algérie 2013 : http://www.mptic.dz/fr/docs/e-Algerie2013/e-Algerie_2013.pdf

A Nedjar. Sétif info

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Alors qu’il totalise pas moins de 58 millions de visiteurs uniques (selon ComScore), Twitter serait en passe de devenir rentable. Après plusieurs tours de tables et autres levées de fond, le réseau social pourrait finir par gagner de l'argent.

Valorisé, paraît-il, à hauteur d’un milliard de dollars , le site Twitter pourrait devenir le modèle de réussite du Web 2.0. A en croire le quotidien La Tribune, les accords signés par le site notamment avec les moteurs de recherche seraient de nature à monétiser et rentabiliser son audience.

Ainsi, les accords passés en octobre dernier avec Google devraient rapporter à Twitter 15 millions de dollars. En outre, le partenariat passé avec Microsoft et son moteur de recherche Bing rapporterait 10 millions de dollars. Il faut dire que le site a réalisé jusqu’à présent plusieurs levées de fond afin d’arriver à l’équilibre.

Déjà, lors d'une conférence à Tel-Aviv, en novembre, Biz Stone, cofondateur du site Twitter, avait dévoilé sa stratégie. Il avait expliqué que le site «commencera à gagner de l'argent l'année prochaine » grâce notamment à l'arrivée de la publicité et de services payants pour les professionnels.
Cette stratégie était prévisible? Car, depuis plusieurs semaines, Twitter a multiplié les partenariats. Par exemple, la semaine dernière, la 'start-up' a signé un accord avec Orange pour intégrer ses messages courts dans les services d'agrégation de réseaux sociaux de l'opérateur en Europe.

Si le prix de l'abonnement pour les professionnels n'a pas encore été défini, il s'agit là d'un moyen de venir au moins à l'équilibre. Après une dernière levée de fonds de 100 millions de dollars (67 millions d'euros) de capitaux auprès de cinq investisseurs, Twitter s'oriente vers la rentabilité. Ce premier pas vers la stabilité et la rentabilité des réseaux sociaux reste, pourtant, à confirmer.


Source : http://www.silicon.fr/fr/news/2009/12/22/twitter_pourrait_etre_rentable_en_2010

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Un centre national de documentation en ligne "Center on line" sera créé en 2010 à l’université de Boumerdès, a annoncé mardi le Directeur Général de la Recherche scientifique et du développement technologique (DGRSDT), le professeur Hafid Aourag.

Intervenant lors d’une rencontre nationale sur la mise en place du système national de documentation en ligne (électronique) dans le domaine de la recherche, organisée à Ain Turck (Oran), le DGRSDT a souligné que la création de ce centre a pour objectif d’améliorer l’environnement et les conditions de travail du chercheur universitaire en mettant à sa disposition une information scientifique actualisée.

[APS]

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Classé premier parmi les dizaines de chercheurs et cadres activant dans le domaine du développement des applications web à l’issue d’une formation à TATA consulting services, à New Delhi, en Inde, Master en Informatique de l’école supérieure d’Informatique d’Alger, Master en sciences et technologies de l’université de Nancy1 en France, et enfin diplômé en études supérieures spécialisées (DESS) en intelligence artificielle de l’université de Nancy 1 en France, l’informaticien algérien Saâd Boukhers est actuellement chef de département informatique et réseaux à l’Institut National de la Poste et des Techniques de l’Information et de Communication à Alger (INPTIC). Dans cet entretien il définit les conditions du bon usage des TIC, tout en faisant un diagnostic de la situation de l’informatique en Algérie. Il nous propose ici 7 éléments pour améliorer cette situation et recommande 8 points relatifs à l’intégration des stratégies des TIC, en abordant également les aspects ayant trait à la formation, à la recherche et à la préservation des compétences nationales exerçant dans ce domaine.

ITMAG : D’abord, la société de l’information vous occupe en tant que chercheur. Elle s’impose comme un Interet majeur au monde entier. Qu’en est-il de notre pays ?

Saâd Boukers : L’avènement d’une véritable société de l’information a fait naître des difficultés largement médiatisées : l’atteinte au droit d’auteur, la violation du droit à l’image et de la vie privée, le spamming, les cookies, la sécurité relative du commerce électronique… Ce même avènement a fait naître aussi les droits et responsabilités suivants et que tous les acteurs et utilisateurs de l’Internet doivent s’interroger :
 Commerce électronique, contrat, consommateur et TIC.
Droits de l’entreprise et TIC.
Droits des salariés et TIC.
Droits du citoyen et TIC.
Propriété industrielle, propriété intellectuelle et TIC.
Responsabilité des acteurs et TIC.
Techniques des TIC et Droit. Quelles sont les conditions requises pour exploiter les TIC de manière à contribuer au développement socioéconomique ?

Deux conditions permettent à notre pays d’exploiter le potentiel de développement économique et social offert par les TIC : l’existence d’une infrastructure nationale d’information adaptée aux nouvelles applications, ainsi que la capacité de créer et d’administrer un environnement propice. Cela signifie qu’il faut développer des applications pour exploiter l’infrastructure de façon à répondre aux besoins réels de notre pays. Pouvez-vous énumérer les éléments pouvant améliorer l’offre des TIC en Algérie en vue de l’intégration de stratégies en matière de TIC ?

Les stratégies ainsi que la politique nationales en matière de TIC dans notre pays détermineront si l’accessibilité croissante des TIC et de leurs applications sera porteuse d’améliorations sociales et économiques, ou conduira à de nouvelles formes d’exclusion. Toute stratégie efficace doit inclure la création d’une capacité pour évaluer les forces et les faiblesses de diverses solutions matérielles et logicielles et pour choisir des applications particulières en accord avec les priorités de développement. À mesure que notre pays se rattachera à l’infrastructure mondiale d’information, il aura besoin d’adopter des moyens efficaces d’optimisation des avantages et de maîtrise des risques inhérents aux TIC. Cette tâche exige une action concertée, embrassant les technologies et les services, de même que de nombreux aspects de l’environnement institutionnel. Des stratégies sont requises afin d’établir les sciences et la technologie, les connaissances techniques et les techniques de gestion nécessaires, et de créer les institutions économiques et sociales indispensables pour tirer parti des avantages sociaux et économiques éventuels des TIC. Il y a lieu d’accorder la priorité aux politiques, aux règlements, à l’éducation, à la formation et aux programmes d’évaluation de la technologie pour améliorer la capacité de produire ou d’exploiter de façon novatrice les TIC. De nouvelles coalitions de ressources et la formation de partenariats entre agents économiques, y compris le secteur des affaires, doivent être encouragées, en accord avec les priorités de développement de notre pays. Il n’existe pas de recette toute faite non plus et des règles strictes et rapides pour l’élaboration de ces stratégies, et l’Algérie doit suivre sa propre voie. Les stratégies en matière de TIC doivent définir des priorités entre les secteurs commerciaux et les responsabilités des ministères. Une coordination s’impose, ainsi que des plans de mise en œuvre et des objectifs clairs. En raison du potentiel des TIC, le gouvernement et tous les agents économiques ont besoin d’édifier de nouvelles capacités visant la production, l’accès et l’utilisation de ces technologies. Pour édifier ces capacités, les stratégies en matière de TIC doivent être sen

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Acces universel au TIC - par Belkherfi
« Le temps, c’est de l’argent ». Le vieil adage va comme un gant à tous et à tout, ou presque. Combien nous reste-t-il avant 2013 ? Et qu’avons-nous fait ? Les citoyens que nous sommes attendent des résultats, des choses pratiques de la vie courante. Et le planning de la journée gagne en productivité. Souvent, aussi, en sécurité. L’expérience de la Corée est intéressante à plus d’un titre. Ils ont choisi ce chemin, et tout le monde, du haut au bas de la pyramide, a suivi. Tout le monde a été mis à contribution, et un comité de pilotage a été mis en place. Le vice-président de Korea Telecom nous disait que « nous ne savions pas où cela allait nous mener, mais nous avions un objectif : faire que les TIC aillent vers le citoyen ». Il reconnaît lui-même que cette opération a été dure, laborieuse et que très peu de pays dans le monde l’avaient déjà faite. Pour nous, les expériences des autres peuvent être un levier et nous éviter de faire les mêmes erreurs. Au début du Web, les sites n’ont fait qu’ouvrir une nouvelle voie pour transmettre des informations aux internautes. Documents, dates et données - tout cela a été mis à la disposition des enthousiastes de la première heure. C’est un bon début, mais ce n’est pas suffisant. Les citoyens sont des consommateurs. Or, les consommateurs d’aujourd’hui ne se satisfont pas d’un site purement informatif : ils s’attendent à y trouver d’autres services. L’objectif majeur est le développement d’une « économie du savoir » à travers la réduction de la fracture numérique et le renforcement du positionnement de l’Algérie à l’échelle nationale, d’abord, par le développement d’une industrie des TIC, et ensuite rayonner à l’extérieur. Le marché intérieur est encore vierge.

[ITMag]

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Les établissements scolaires et les organismes de formation des enseignants sont invités à participer et à s’inscrire avant le 23 octobre 2009, afin de présenter leurs meilleurs projets d’enseignement et d’apprentissage par les TIC.

Pour la neuvième année consécutive, European Schoolnet organise les Prix eLearning, une compétition européenne qui récompense la meilleure utilisation des technologies dans le cadre éducatif. Les établissements scolaires et les organismes de formation des enseignants sont invités à participer et à s’inscrire avant le 23 octobre 2009, afin de présenter leurs meilleurs projets d’enseignement et d’apprentissage par les TIC :

* projets TICE innovants dans tous le domaine des langues vivantes, des sciences ...
* projets incluant l’usage d’outils collaboratifs, de réseaux sociaux
* sites internets ou blogs de classe ou d’établissement, vos podcasts, vos séquences vidéo sur internet
* activités éducatives sur le web 2.0,
* travaux autour de la sécurité sur internet ….

Liste complète des catégories , règlement , et inscription
(sélectionner l’onglet “français” en haut à droite)

Les lauréats de chaque catégorie recevront un chèque et des équipements TIC. Les Prix eLearning reçoivent le soutien de sponsors du domaine des TICE.

La cérémonie de remise des prix se déroulera lors de la conférence annuelle EMINENT qui aura lieu cette année à Vilnius (Lituanie) les 26 et 27 novembre 2009.

Source : Nathalie Terrades, cellule "International", SDTICE.

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ALGER - Deux projets de loi sur la société de l'information seront prêts au premier trimestre de l'année 2010, a annoncé, dimanche à Alger, le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, Hamid Bessalah. S'exprimant en marge du premier forum international sur l'administration électronique "e-daratic 2009" organisé par son département, M. Bessalah a indiqué que "le premier projet de loi concernait "la société de l'information" tandis que le deuxième est un avant-projet de loi relatif aux "règles des télécommunications", précisant que les deux seront fin prêts au premier trimestre de l'année prochaine.  

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ALGER - Le développement de l'administration électronique constitue le premier axe majeur de la stratégie e-Algérie 2013, ont souligné, dimanche à Alger, des experts à l'occasion du premier forum sur l'administration électronique "e-daratic 2009". Cet axe porte sur l'accélération de l'usage des Technologies de l'information et de la communication (TIC) dans l'administration publique par l'introduction de ces nouvelles technologies et le renforcement de leur usage au sein de l'administration publique. La mise en œuvre de cet axe engendrera "une transformation importante des modes d'organisation et de travail de l'administration publique et l'amènera à simplifier son mode de fonctionnement et à servir le citoyen de manière plus appropriée, notamment à travers la mise en ligne de ses différents services", a-t-on relevé.  

Source APS

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ALGER - Les travaux du premier forum sur l’administration électronique "e-daratic 2009" se sont ouverts dimanche à Alger sous la présidence du ministre de la Poste, des Technologies de l’information et de la communication, Hamid Bessalah. Cette rencontre permet de faire le point de situation sur l’état actuel de la e-administration en Algérie et d’examiner, en collaboration avec les autres secteurs concernés, les perspectives de développement en tenant compte des expériences réussies dans d’autres pays. M. Bessalah a indiqué, à cette occasion, que ce forum constitue une "opportunité" pour dresser un état des lieux de l’administration électronique en Algérie, les progrès qui ont été accomplis et la recherche de nouvelles perspectives devant permettre à ce projet ambitieux de progresser encore davantage.   

Source APS

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ALGER - Le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Yazid Zerhouni, a affirmé jeudi à Alger que la numérisation de la totalité des 400.000 registres d'état civil se fera dans deux années au plus tard. "A partir de cette année sera engagée une vaste opération de numérisation de la totalité des registres d'état civil estimée à 400.000, concernant environ 60 millions d'actes", a indiqué le ministre lors d'une séance plénière au Conseil de la nation consacrée aux questions orales. Cette opération a pour objectif l'informatisation des opérations d'inscription, transcription et établissement des actes au bénéfice principal des citoyens qui "pourront même accéder aux demandes en ligne des documents d'état civil", a ajouté le ministre.    

Source : APS

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ALGER - Les intervenants au séminaire sur la certification électronique ont recommandé, mercredi à Alger, la mise en œuvre graduelle du processus de dématérialisation selon les objectifs de l'Etat et les besoins économiques du marché. La certification électronique ne doit pas être une fin en soi mais plutôt un socle technologique dans une perspective d'édification d'une économie numérique et une société de l'information, a-t-on indiqué à l'issue de ce séminaire de deux jours organisé par l'Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT) en partenariat avec l'Union internationale des télécommunications (UIT).   

Source : APS

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ORAN - Les femmes rurales qui font de la couture au village de "Hassiane Toual" (ex Fleurus), situé à 20 km d’Oran, adopteront la technique "web" pour écouler leurs productions, a-t-on appris de l’association de promotion sociale, culturelle et sportive "Chougrani". Inscrite dans le cadre du projet de création d’un atelier informatique pour la formation de la femme rurale dans cette zone relevant de la commune de "Benfréha", cette opération est financée, par l'association "Chougrani" dont le siège est situé à Oran, à hauteur de 42%, alors que l’agence catalane de coopération et de développement (Espagne) se chargera du reste, a-t-on souligné de même source.   

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ALGER - Le renforcement de l'arsenal juridique national relatif à la certification électronique et la sensibilisation de tous les acteurs dans le domaine du e-commerce sur les risques et menaces y associés ont été au centre des débats d’un séminaire sur la certification électronique, mardi à Alger. Avec l'avènement du commerce électronique, un nombre croissant de documents numériques (contrats commerciaux, factures, conditions générales de ventes, déclarations, formulaires, courriers électroniques, etc.) sont échangés quotidiennement à travers des réseaux informatiques, a relevé le sous-directeur de la réglementation et de la sécurité informatique au ministère de la Défense nationale (MDN), Djamel Adrouche.  

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